
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Juillet 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | |||||
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | ||||
14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | ||||
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | ||||
28 | 29 | 30 | 31 | |||||||
|
La peau frémit, rencontre l’effervescence de secousses, bouleversée. D’appétit en gourmandise, elle vibre avant même que la main ne la touche. La main… elle survole, abandonne sa chaleur d’un sillon ardent. Et la peau guette le moment où la paume ira se poser. L’épiderme est évidence. Elle et Lui, peau à peau, corps à corps, nudité à nudité. Les peaux, messagères, échangent les fragrances, jusqu’à libérer ce parfum nouveau, le mélange des sueurs. La main débusque le grain, la douceur veloutée, explore cette surface vivante qui est avide d’être effleurée. Elle et Lui, les peaux se parlent et se grisent. De frôlement en froissement, les chairs s’épousent quand les peaux s’embrassent, les peaux s’accouplent quand les chairs s’embrasent. L’épiderme est vérité. Elle et Lui, ventre à ventre, les peaux chuchotent et s’appellent. Elles dansent un ballet charnel où l’odeur est musique. Elles se parlent quand les mots s’abîment dans un souffle. Elles frémissent, rencontrent l’effervescence de secousses, bouleversées.
Extrait du blog de Pénélope Timiste
Elle s'est glissée dans le creux de mon oreille
Elle s'est inscrite au fond de moi
Comme la mer au fond d'un coquillage
Et je l'écoute me bercer
Tel le ressac sur le sable
Et je l'entends qui me dit
Comme l'écume qui pétille :
Mon amour, je t'aime !
Extrait du site : http://charivarii.canalblog.com/archives/p30-10.html
Souviens-toi, c'était un jeudi
Souviens-toi, on avait suivi
Le chemin des amoureux
C'était il était une fois nous deux
Souviens-toi, c'était le grand jour
Le grand pas vers le grand amour
C'était encore mieux que ça
C'était nous deux il était une fois
Un hôtel sur la route du port
Un soir banal
Deux clients, un veilleur qui s'endort
Sur son journal
Il nous tend une clé
Nous dit: "bonsoir"
Le matin on avait réservé une chambre discrète
On n'ose pas montrer qu'on s'aime
Deux amants à la peine
On a pris le cent six au hasard,
Un peu gênés
Puis ta robe a glissé dans le noir
On s'est aimés
Quand plus tard le réveil a sonné
Pour te réveiller
Pas de café ni déjeuner
Tu t'es vite préparée
Je savais bien que tu partirais
Nos vies se séparaient...
D'après Joe Dassin
Je réfléchissais avec peine sous le ciel bleu d’azur
Quand une douce image vint troubler mes poèmes,
Deux yeux marron et malicieux, dignes d'une peinture,
Des cheveux bruns, peignés comme je les aime,
Vinrent tous ensemble un instant m'éblouir
Me montrant la voie du bonheur, celle du soleil,
Comme un abîme profond dans son sourire
Sifflant un air magique, un songe presque réel.
Cet oiseau là, belle Colombe, c'est moi.
Et cette gentille fée, qui dompte la vérité,
Ecoute-moi, Amour, car bien sûr c'est toi.
C'est chez toi que mon cœur a frappé.
Du bout des lèvres te réveiller
Parcourir ton corps en un baiser
Susciter doucement le désir
Ta peau sous mes doigts frémir
Découvrir encore une fois
Ton désir s'accentuer
Tes mains de soie
Doucement me choyer
Attiser nos âmes
Vers une danse charnelle
Embraser la flamme
Que nos corps se mêlent
S'incendier sous l'étreinte
S'arquer de plaisir
Se susurrer des plaintes
Se créer un empire
S'épanouir dans la moiteur salée
De nos corps essoufflés.
Epuiser d'amour
Volupté glamour.
ANGELINA BABILLOT
J'te mentirais si j'te disais qu' j'y ai pas pensé
Si j'te disais qu' j'ai pas voulu te retenir un p’tit peu plus
Si j'te disais,
Mon amour, que j'ai rien senti,
Rien retenu de tes baisers
Qu'à mes silences, tu as souffert
J'te mentirais J'te mentirais
Vite, je tombe Est-ce que tu m' regarderas ?
Alors, vite, je tombe comme un pantin sans fil
Trop libre et trop fragile
Je cherche ta main dans les nuages Pour garder ton image
J'te mentirais si j'te disais au fond des yeux
Que tes larmes ont tort de couler que notre histoire serait toujours belle
J'te mentirais Et pourtant moi, j' me suis menti
De nous croire tellement à l'abri
De nous voir plus fort que la vie
Mais ces choses-là on ne les sait pas
Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Alors, vite, je tombe comme un pantin sans fil
Notre histoire qui défile
Je cherche ta main dans les nuages Pour pas tourner la page
J'te mentirais Mais à qui d'autre pourrais-je le dire
Sans cette fois vraiment te trahir ? Le silence est parfois pire
Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Alors, vite, je tombe Comme un oiseau voleur
Touché là, en plein cœur Et qui se demande encore pourquoi
Il ne t’a pas enfermée dans ses bras.
Avec la complicité involontaire de P. Bruel
Commentaires