Mardi 27 février
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27
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/Fév
18:32
Comme l'amour que j'ai pour toi
Le lien qui nous relie
Irrésistible amant
Toujours prés de toi
Oublie pas comme je t'aime
Rencontre amoureuse
Invitation à l'amour
Souvent envie de toi
Par Lou33
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Mardi 27 février
2
27
/02
/Fév
12:32
Il y a eu pour nous la période tendresse
Succombant à la phase caresses
Et tout naturellement, un jour
Sans prévenir naquit l’amour…
Sans tambour ni trompette
Chaque jour devint une fête
Adieu amitié, bonjour amour
Pour un jour, pour toujours !
Grande est notre complicité
Totale est notre confiance
Tout est clair et simplicité…
Chaque jour est un conte de fée
Tour à tour entrons dans la danse
Et partageons ce bonheur sans limite.
Lou
Par Lou33
-
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Mercredi 21 février
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21
/02
/Fév
20:26
D’un geste tu dégrafes mon pantalon
Prestement il se cale sur les talons
Mon attribut viril tend mon caleçon
Vais-je passer pour un étalon ?
Tes mains caressent ma peau nue
Féline, câline, mutine, ingénue
Tu mets mon cœur à nu
Quand tu t’éloignes à pas menus.
Mais lentement tu te dévêtis
Moi sagement me languis
Avec toi jamais ne m’ennuie
De jour comme de nuit…
Près de moi tu t’allonges
Les caresses tu prolonges
La vallée de l’amour je longe
La fièvre des sens me ronge…
Quand sur toi enfin je plonge
Je libère cette énergie qui me ronge
C’est encore plus brûlant qu’en songe
Mais qu’as-tu donc fait de l’éponge ?
La nuit file sans escale
Et contre toi je me cale
Bien plus, je me régale
Zut, sept heures, il faut que je me cavale…
Par Lou33
-
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1
Lundi 19 février
1
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/Fév
13:58
Viens ici, toi.
Viens ici, et soumets toi aux désirs de ton roi.
Viens goûter aux caresses,
Celle de mes mains parcourant tes formes de déesse,
De tes gracieuses épaules à tes fesses,
Suivant tes courbes invitantes, séduisantes, appétissantes,
Pétrissant tes seins généreux de femme adorée,
Flattant ton ventre soyeux où l'on sent quelque chose mouiller.
Suivant la courbe du dos ou remontant les cuisses,
Atteindre ce paradis luxurieux, théâtre de plaisir délicieux.
Un religieux parlerait de turpitude, de bassesse,
En référence à la courbure vallonnée de tes fesses.
Au fond de lui même, il s'imaginerait t'empalant,
Cognant dans ton séant si invitant,
Dans un moment de faiblesse honteuse.
Pouvoir profiter d'un séant à la chair généreuse,
D'une rondeur si exquise, au temple rose affriolant,
Aux lèvres vaginales béantes et pendantes,
Comme des portes ouvertes invitantes.
Laisse ton maître prendre soin de toi,
Laisse ton corps profiter des bontés de ton roi.
Calée dans mes gros oreillers,
Remonte ta croupe et laisse moi te chevaucher,
Comme le ferait un étalon de mon haras avec sa belle,
La plus désirable des femelles.
Laisse mon dard te butiner,
Ma belle colombe adorée.
Quel délice, de sentir ta croupe se chauffer,
Se mouiller, vibrer,
Frémir de plaisir.
Laisse entrer dans ta jungle humide mon membre en érection,
Prêt pour sa mission: bombarder ta grande vallée.
Qu'en dis tu, ma bien aimée?
Tu aimes jouir de moi ? J'aime jouir en toi, de toi .
Soumets toi aux désirs de ton roi .
Lou
Par Lou33
-
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1
Dimanche 18 février
7
18
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21:58
J'ai besoin d'amour
C'est comme ça dans ma vie
Je vis de jour en jour, je rêve d'harmonie
Tu me vois, comme je te vois
On a tant de choses à partager
Tu me prends, comme je te prends
Tu ne pourrais pas vivre sans être aimée
Juste un mot, rien qu'un mot
Et nous voilà partir où continuer
Tu es là, je ne vois que toi
Tu es la seule que je veux aimer
Toi qui tout comme moi
Rêve du jour où l'amour saura l'emporter
Toi qui tout comme moi
Sais que demain sera toujours
Un autre jour pour faire l'amour
Tu me vois, comme je te vois
On a tant de choses à se donner
Tu me prends, comme je te prends
Tu ne pourrais pas vivre sans être aimée
Par Lou33
-
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0
Dimanche 18 février
7
18
/02
/Fév
17:39
Aimer c'est être joueur,
prêt à perdre.
Aimer ce n'est pas garder,
posséder.
Aimer c'est l'autre avant toi.
Yann Queffélec
Par Lou33
-
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Dimanche 18 février
7
18
/02
/Fév
13:20
Poème pour ma bien-aimée !
D’un geste tu dégrafes mon pantalon
Prestement il se cale sur les talons
Mon attribut viril tend mon caleçon
Vais-je passer pour un étalon ?
Tes mains caressent ma peau nue
Féline, câline, mutine, ingénue
Tu mets mon cœur à nu
Quand tu t’éloignes à pas menus.
Mais lentement tu te dévêtis
Moi sagement me languis
Avec toi jamais ne m’ennuie
De jour comme de nuit…
Près de moi tu t’allonges
Les caresses tu prolonges
La vallée de l’amour je longe
La fièvre des sens me ronge…
Quand sur toi enfin je plonge
Je libère cette énergie qui me ronge
C’est encore plus brûlant qu’en songe
Mais qu’as-tu donc fait de l’éponge ?
La nuit file sans escale
Et contre toi je me cale
Bien plus, je me régale
Zut, sept heures, il faut que je me cavale…
Lou
Par Lou33
-
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0
Samedi 17 février
6
17
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/Fév
14:22
Par Lou33
-
Publié dans : Poésies et chansons
1
Jeudi 15 février
4
15
/02
/Fév
18:16
C'est peut-être ça
L'amour, le grand amour,
C'est peut-être ça
Qui m'a prise à mon tour,
Ce je ne sais trop quoi
Qui fait froid dans le dos
Et soudain donne chaud
Quand tout le monde a froid...
C'est peut-être ça
Qui fait battre le cœur
Et, pendant des heures,
Vous fera rester là
Devant un téléphone
Pour entendre une voix,
Devant un téléphone
Qui ne sonnera pas...
C'est peut-être ça,
L'amour, le grand amour,
C'est peut-être ça
Qui m'a prise à mon tour,
Ce sentiment brutal,
Lorsque tout allait bien,
De se sentir très mal
Sans savoir d'où ça vient.
C'est peut-être ça
Qui fait pleurer de rire
Et vous fait courir
A minuit sous la pluie,
Sous la pluie, sans manteau
En gueulant qu'il fait beau,
En gueulant que la vie,
'y a rien de plus joli...
Avant, juste avant
D'aller se foutre à l'eau...
C'est peut-être ça
L'amour...Le grand amour !...
Chanson d'Edith Piaf
Par Lou33
-
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Mardi 13 février
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14:57
Un jour que j'avais du chagrin,
Tu l'as fait voler en éclats.
Prenant mes larmes dans tes mains,
T'as dit : "T'es trop belle pour ces bijoux-là !"
Pour toi, j'ai appris à sourire
Et, dès ce jour là, j'ai compris
Qu'on puisse avoir peur de mourir
Quand on connait déjà le paradis...
Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.
Auprès de toi je n'ai plus peur.
Je me sens trop bien, à l'abri.
T'as fermé la porte au malheur.
Il n'entrera plus, t'es plus fort que lui
Et quand, par les rues, je m'en vais,
Je porte ma voix dans les yeux,
Comme si tes baisers me suivaient
Et que les gens se retournaient sur eux.
Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.
Chanson d'Edith Piaf
Par Lou33
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