Mercredi 30 juillet
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A quatre pattes, ma douce et tendre avance nue vers moi, elle se fait chatte comme une chatte qui part chasser la souris, elle me regarde d'en bas. Ses yeux perçants ne quittent pas
une seconde les miens.
A quatre pattes, elle se traîne se prélasse et minaude, tout près de moi. Féline, elle cambre sa croupe, passe sa tête entre mes cuisses, se frotte et se fait câline puis tend sa langue vers les
sommets.
A quatre pattes, elle lèche mes mollets, griffe nerveusement mes jambes, escalade et s'agrippe… à moi. Ses mains nues et douces comme le velours glissent sur mes cuisses, devant, derrière ; ses
mains explorent avec minutie mes fesses ; ses mains fines caressent, pincent et pétrissent.
A genoux, elle s’accroche à moi et par petites explorations de sa langue douce elle envahit tout mon corps ; elle cogne enfin son nez à mon membre dressé. Elle se délecte à loisirs de ce
nouveau jouet qu’elle manie à merveille.
A genoux, la douce féline baisse la tête, se frotte, cajole feule. Elle joue de mon sexe comme d’un violon artistique et virtuose, puis elle suce mon membre raidi de haut en bas, avec
application. Elle s’accroche enfin à mon pic et ne le lâche pas.
La voici dressée maintenant, elle frôle de ses joues mon torse. Elle mordille mes tétons entre ses dents, elle caresse de ses cheveux fins mes épaules. Elle dispense son souffle chaud sur mon cou
puis mordille le lobe de mon oreille.
Elle prend mon visage entre ses mains et plonge son regard dans le mien, elle s'approche avec lenteur.
Debout, elle frôle de la bouche les replis de mes lèvres et frotte ses lèvres aux miennes le supplice n’en finit pas. Elle passe enfin sa langue à la recherche de la mienne en fermant les yeux.
Elle prends sûrement possession de ma bouche, aspire, mordille mes lèvres, lèche, me goûte, tète, avale mon souffle, mêle et emmêle nos langues dans un interminable baiser.
Debout, face à moi, amoureuse, sa bouche fait l'amour avec la mienne. Mes mains glissent sur son corps nu, l’effleurent, la caressent avec douceur son corps aimante le mien, nous ne faisons plus
qu’un !
Par Colombe et Lou
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Publié dans : Lou et Colombe
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