Espace de Colombe et Lou


Je réfléchissais avec peine sous le ciel bleu d’azur
Quand une douce image vint troubler mes poèmes,
Deux yeux marron et malicieux, dignes d'une peinture,
Des cheveux bruns, peignés comme je les aime,
Vinrent tous ensemble un instant m'éblouir
Me montrant la voie du bonheur, celle du soleil,
Comme un abîme profond dans son sourire
Sifflant un air magique, un songe presque réel.
Cet oiseau là, belle Colombe, c'est moi.
Et cette gentille fée, qui dompte la vérité,
Ecoute-moi, Amour, car bien sûr c'est toi.
C'est chez toi que mon cœur a frappé.

 
Lun 15 oct 2007 Aucun commentaire