Un jour que j'avais du chagrin,
Tu l'as fait voler en éclats.
Prenant mes larmes dans tes mains,
T'as dit : "T'es trop belle pour ces bijoux-là !"
Pour toi, j'ai appris à sourire
Et, dès ce jour là, j'ai compris
Qu'on puisse avoir peur de mourir
Quand on connait déjà le paradis...

Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.

Auprès de toi je n'ai plus peur.
Je me sens trop bien, à l'abri.
T'as fermé la porte au malheur.
Il n'entrera plus, t'es plus fort que lui
Et quand, par les rues, je m'en vais,
Je porte ma voix dans les yeux,
Comme si tes baisers me suivaient
Et que les gens se retournaient sur eux.

Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.

Chanson d'Edith Piaf

En matère de sexe, la plupart de hommes se prennent pour des dieux.Manque de pot, en matière de sexe, la plupart ds femmes sont athées.

On se marie par manque de jugement. On divorce par manque de patience. Et on se remarie par manque de mémoire.

Qu'une personne vous manque est moin grave que de manquer à personne.

Entre amants, le tact est de savoir en manquer.

Visez toujours la lune.Même si vous la manquez, vous atterrirez parmis les étoiles.

Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque.

 

Amour, toujours

Ce sont des yeux qui se regardent
Ce sont des bouches qui s'effleurent
Ce sont des mains qui s'attardent
De longs moments qui durent des heures

Ce sont deux désirs qui se rencontrent
Ce sont deux cerveaux qui s'émoustillent
C' est un corps contre l'autre, tout contre l'autre
Ce sont des frisson qui fourmillent


Ce sont des langues qui se nouent
Se dénouent, descendent et remontent
De haut en bas, des cuisses au cou
Ce sont des corps qui se démontent

Ce sont des peaux qui se caressent
Très lentement tout en douceur
Un affrontement tout en douceur
Dans une lutte où il y a deux vainqueur

Ce sont des mots qui se murmurent
Qui se chuchotent, qui se suçotent
Des mots tendre, des mots d'amour bien sûr
Ou des mots doux et des mots trop durs

C'est une moiteur , c'est une sueur
Qui luit sous la lumière tamisée
C'est un parfum, c'est une odeur
Mélange d'Amour et de beauté

Ce sont des cris , des gémissements
Etouffés ou exaltés
C'est une montée au firmament
La vie dans un ciel étoilé

Ce sont des corps exténués
Le souffle court, des morts vivants
Qui vont bientôt ressusciter
Et revivre dans un nouvel élan

Lou

Exhibition


Sur le lit allongée, les jambes écartées.
Elle laisse entrevoir, ses désirs d'un soir.
Pris d'une exhibition, et cédant à la tentation.
Ses mains la caressent, en effleurant ses fesses.
La langue sur ses lèvres, tel un instant de fièvre.
Elle s'adonne aux plaisirs, de ne pouvoir rien dire.
Elle joue de ses mains, se caressant les seins.
Les pointes durcissent, sous la pression du vice.
Ses jambes se croisent, la mains sur sa toise.
Les doigts s'enfoncent, mais de suite renonce.
A trop bref orgasme, à la fin de ses fantasmes.
Le sexe plein d'ardeur, elle regorge de chaleur.
Les lèvres mouillées de désirs, elle ne pense qu'à son plaisir.
De la porte je la vois, mais elle ne me voit pas.
J'observe son excitation, le sexe rebelle en érection.
Son érotisme me perturbe, et de ma main je masturbe.
Ce membre grandissant, qui laisse entrevoir mon gland.
Ses cuisses à demi ouvertes, les yeux comme inertes.
Je m'approche lentement, et la lèche langoureusement.
Ses mains s'abandonnent aux plaisirs que je lui donne.
Son corps suintant d'envies, m'appelle a son appétit.
Mon sexe à hauteur de visage, se laisse prendre tel un otage.
Sa langue n'est que jubilation, devant une telle satisfaction.
Je me glisse sur son corps, pour lui jeter un sort.
Mon sexe glisse avec faim et s' applique à des va et vient.
En elle jusqu'à la jouissance, de lui donner ma semence. 

Lou

Mauvaises habitudes…
J’ai beau réfléchir, j’ai beau chercher
La vérité c’est que je t’aime à en crever.
Pour tout dire, pour dire vrai
Je t’aime plus que je n’imaginais .
Et c’est finalement très douloureux
D’être un homme amoureux…
J’ai juste besoin de tes bras accueillants
Pour m’y réfugier un moment.
Mes mains tremblent au son de ta voix
Mon cœur s’emballe quand je te vois.
Quand nos vies nous accaparent
Et qu’un instant tout nous sépare
Le monde entier s’écroule
Jusqu’à ce que sur le Net tu déboules.
En un mot je fais simple, je résume
J’ai pris une mauvaise habitude mais j’assume
C’est celle d’avoir peur de ne jamais t’aimer assez !